bac

félicitations àc eux qui ont eu leur bac,
taux record mais la question se pose : certains candidats n'ont jamais eu la moyenne de l'année, aucuns de leur dossiers n'ont été acceptés en BTS ou IUt et ils vont se retrouver à la fac, mais qu'est ce qu'ils vont y faire s'ils n'ont pas le niveau .....
c'est bien beau d'emmener ces jeunes au bac mais si c'est pour qu'ils se plantent au bout d'un trimestre en fac, ça sert à quoi

C'est sur qu'avoir le bac juste pour l'avoir j'vois pas l'intérêt pour leur avenir !!

moi le bac...lol c'est dans 3ans (si je redouble pas encore) arf! j'ai le temps

Ben moi j'ai eu la moyenne tout l'année et pas au bac comme en Francais, Histoire, Anglais, Sport. Donc je dois être une exception.

Par contre j'ai plusieurs connaissances qui ont jamais eu la moyenne toutes l'années, voir séché un cour sur deux pour certain mais qui ont eu quand même leur bac et du premier coup pour la plupart (cherché l'erreur).

Donc effectivement ca veut rien dire avoir son bac. En fac ca sera seulement le travail rigureux qui paye et la motivation.

En fac ca sera seulement le travail rigureux qui paye et la motivation
tout à fait St@n !!

moi perso je m en fou ! tous façon faut pas se tromper le bac n'est qu'une étape et non pas un aboutissement .si certain sont assez bete pour penser qu'avec le bac il reussiront leurs vie et ne se rendent pas compte qu'ils ont un niveau merdique c'est leurs problemes!

oui mais le problème est qu'on incite les jeunes à aller au bac et faire des études alors que souvent bcp de filières sont bouchées et qu'ils n'ont pas le niveau. il faudrait mieux diriger ces jeunes vers des filières techniques et professionnelles (même si après le bac ils continuent des études) que de se trouver avec des jeunes qui n'ont aucune formation même s'ils ont le bac

Pourtant les fillières techniques ont nous a assez soulé avec ca au collège. En 3ème ils incités tout le monde a y aller même les meilleurs, en seconde aussi. Mais bon problème : tout le monde ne rêve pas d'avoir un avenir tout tracé et un métier pas forcement super.

Je prefère sérieusement galéré 10 années d'études et de petit boulot pour arriver a quelque chose qui me convient que me retrouvé à 20 ans mancon.

devient plombier, tu te fera des cou***** en or

Dorsi aujourd hui si certain n'ont pas le niveau c'est surment plus du a la massification des eleve et a la reduction des poste d'enseignant,des heure de cours et enfin des ecole ( au sens general)

c'est sur que quand on ferme les ecoles primaires de petit village car sa coute trop cher et qu'aprés dans certains primaires les éléves se retrouve a 32 par classe ( veridique) les enfant prénnent un mauvais départs car ils ne peuvent pas recevoir toute l'attention qu'il merite. il en est de meme aux lycés etc..

merci le gouvernement

ps : je supporte mal le numéro de la jeune militant ump outré par le systeme

j'espère que le role de la militante de l'ump ne m'était pas adressé

c'est sur qu'il y a des problèmes qd on ferme les écoles et qu'on supprime des postes d'enseignants. Apprendre une langue étrangère qd on est 35 ds une classe, ce n'est pas faisable.

Par contre, je connais pas mal de jeunes qui se sont retrouver à la fac, qui on redoublé leur 1ere année et qui ont abandonné la 2eme, résultat des courses juste un bac et avec ça, tu ne te trouve rien et c'est hyper galère de retrouver une formation donc il faudrait améliorer l'orientation et faire une rénovation dusystème scolaire

toi et Stan vous avaient un projet et vous avez un assez bon niveau mais malheureusement ce n'est pas le cas de bcp.

Arrête de tout mettre sur le dos du gouvernement Just, y a pas que lui qui rentre en jeux meme si il influence la majorité des choses, tu diabolise trop et tu tombe dans la caricature de l'oposition.

Dorsi n'a pas tord, ce qu'elle constate est tout a fait vrai.

je connais une fille qui a fait 3 années de fac après le bac et qui a tout arrêté pour faire un CAP de tapisserie car elle savait qu'elle aurait bcp de mal à trouver du boulot après ses années d'étude.
De plus, il ne faut pas oublier que ça coute cher de poursuivre des études pdt des années et si tu n'as pas des parents derrière toi qui peuvent assumer financièrement, c'est pas évident d'y arriver tout seul !!

Ben moi je suis peut être pas assez mure mais je me sens pas de faire un CAP de quoique ce soit XD

Enfin en tout cas, on vera comment ca se passera l'année prochaine...

c'est sur, tu fais une année et tu verras bien après .............

c est pas une caricature !

je sais pas mais en lisant vos poste j'ai l'impression que vous montrez juste le probléme :" jeune sans niveau en fac " . je pense qu'il faut d'abord cherchez les causes de cela .
au derniere nouvelle l'ecole est toujours un service publique et donc reléve de l'état donc je pense que la faute lui incombe.

attention ce n'est pas une critique seulement de l' ump car le dernier ministre socialiste de l'éducation nationale n'était pas plus doué , juste un gros coup de gueule sur la fçon dont est géré l'ecole en france

Peut être mais on regarde les effets, là on en est certain.

Les causes sont un autre problèmes, surement beaucoup plus complexe, mais je suis assez daccord avec toi de tout facon. C'est deseperant de voir que le gouvernement consacre plus d'argent au classes maternelle qu'aux Universités.

ça ne date pas d'aujourd'hui !!! en 2007, ça fera 15 ans que j'ai eu mon DUT, j'ai un copain qui a suivi ce même DUT puis à continuer pour avoir un DESS en droit de l'urbanisme et depuis il galère, il a 35 ans et il n'a jamais eu un CDI et n'a jamais travaillé ds son domaine de compétence

comme dit Aline, il faut avoir les moyens de suivre des études, je connais pas mal de personnes qui se sont arrêtées à bac + 3 et se retrouve en intérim ou caissière, ou serveuse

il y a un gros problème d'orientation !!!!! on devrait faire des bilans de compétences dés la 3eme pour faire les points forts et les points faibles de l'élève car il n'y a pas que l'instruction qui compte il y aussi le caractère

et desfois il faut mettre aussi la faute sur le dos des parents qui veulent à tout pris que leur enfant fasse des études; qui n'acceptent pas le redoublement etc
en 1er je me suis retrouvé en classe avec un mec comme ça, il était nul, il avait du mal à lire et en fin de compte il a fini par tout planté en milieu d'année après avoir eu ses résultats de bac blanc (désastreux car il avait mal lu le sujet et rédigé mal)

les parents c'est vrai mais ce n'estqu'une minorité des cas ( je l'espere) !

quand au cas de ton ami je pense que sa releve plutot du domaine de l'entreprise plutot que celui de l'école car lui il est qualifié!

disons qu'il y a peu de poste car ça concerne surtout les administrations (mairie et régions) donc sur concours

par contre au niveau de parents, il y en a bcp plus qu'on pense entre ceux qui s'en foutent et ceux qui ne veulent pas que leurs gamins redoublent : résultat des élèves qui s'ennuient car ils ne comprennent rien et qui foutent le bordel

Ce ne sont même pas les études ou les cursus à remettre en question ...

Y'à plus de boulot en France ... Et ce sera le cheval de bataille des prochaines élections ...

Il faut s'attaquer à l'emploi en France !!! PERSONNE s'en occupe ... Si une personne s'en est OQP et on l'a "envoyé se faire niquer" PASSEZ MOI L EXPRESSION ...

Donc voilà ... tout le monde assume ... et que je sache ... [...], [....] ...

Je vais pas plus loin c'est un sujet sans fin puisque tout le monde se renvoit la balle , en France personne n'est responsable , faut bien se le dire !

il y a certains boulots que personne ne veut faire aussi

ensuite, ce n'est pas normal qu'en France, à 45 ans, tu sois déja trop vieux

il y a aussi un problème d'accompagnement qd tu rentre ds la vie active
mais c'est aussi galère qd tu veux changer de branches
(par ex qd j'ai voulu quitter l'hotellerie, j'ai fait un bilan de compétence et il ressortait que je devrais faire (en autre) de l'artisanat mais le problème est que qd tu as 30 ans pour faire un formation d'ébéniste, restaurateur de meuble etc c'est presque impossible : les écoles sont pour les jeunes ou alors il faut que tu finances ta formation et c'est hors de prix)

hey pas de proxénétisme liberal svp ( blague en rapport avec un autre poste)

par curiosité carole tu travail ? si oui dans quelle branche ? ( c'est une simple question)

enfin si meme le MEDEF se met a faire des pub pour l'entreprise et pour recruter c'est qu'il a du boulot en france ! ( en temoigne la reprise de la croissance )

ps : si on dans cette cituation c'est pas a cause des socialiste ! alors a qui la faute?

de toute façon, la gauche et la droite n'ont pas fait grd chose pour l'éducation !!!!

de toute façon on peut faire des études et ne pas travailler ds son domaine, de tous ceux qui ont fait carrières juridiques avec moi, aucuns travaillent vraiment ds le droit, la seule qui a un travail avec un peu de droit travaille ds un cabinet d'assurance

un article :

Au départ Adrien, 18 ans, était attiré par l'histoire. Mais «comme il n'y a pas d'embauche» et qu'il ne veut «pas être prof», il a renoncé et s'est finalement inscrit en économie-gestion à l'université de Tolbiac. «Avec un mastère, on est sûr d'avoir des débouchés.»
Sabrina, 18 ans, voudrait être ingénieur du son. Mais il n'y a que trois écoles qui proposent des BTS dans cette spécialité. Son dossier scolaire n'étant pas brillant, elle s'est retrouvée 201e sur une liste d'attente. Sans espoir, donc, d'être admise. «Par défaut», elle va faire de la physique à l'université Paris-VII-Jussieu : «Peut-être que ça me conduira vers le métier que je veux.»
Gaëlle, 17 ans, ne sait «pas encore quoi faire de sa vie». Elle s'est inscrite en psychologie à Paris V : «En seconde, le moral et les notes n'allaient pas. Alors on m'a envoyée chez un psy. D'où mon choix.» Gaëlle sait qu' «il y a beaucoup de monde et peu de débouchés», mais elle se donne «un an pour voir».
Portes. Tous élèves de terminale S au lycée Victor-Hugo à Paris, ils viennent de décrocher le bac. Contents ou au moins soulagés, ils ont fait la fête pour marquer leur succès. Mais ils en sont conscients : le plus dur commence. Le bac n'est plus ce diplôme recherché qui ouvrait les portes les plus prestigieuses de l'enseignement supérieur. Aujourd'hui, ce n'est qu'une étape avant un nouveau parcours, complexe. Il faut se retrouver dans le dédale des formations, préparer des dossiers compliqués, souvent plusieurs mois avant le bac, et si possible faire le bon choix.
Loïc, 18 ans, qui a eu la mention assez bien, rêve depuis tout petit d'être astronome. Mais «personne n'a pu m'expliquer clairement le chemin à suivre». Après de longues recherches ­ «J'ai accumulé les informations au fil des ans» ­, il s'est inscrit dans une prépa de physique-chimie. Il a dû envoyer un dossier dès février, a reçu une réponse positive avant le bac. «La fac m'a été déconseillée pour démarrer : trop d'échecs, raconte-t-il. Quelqu'un m'a parlé de cette prépa qui permet d'intégrer une école d'ingénieur. Puis ce sera la fac, un doctorat d'astrophysique.» Sept ans d'études au bas mot...
Comme ses camarades, il reconnaît que le système scolaire fait des efforts pour aider les élèves dans la jungle du postbac. A partir de la troisième, le conseiller d'orientation organise des réunions dans les collèges. Il y a aussi les journées «portes ouvertes» des établissements supérieurs, le Salon de l'étudiant et bien sûr l'Internet. Mais l'investissement personnel, le temps passé à explorer la myriade d'écoles, de parcours et de spécialités, fait souvent la différence.
Prépa privé. «Je préférais trouver par moi-même, ça m'a plu de chercher sur l'Internet. La difficulté, c'est de concilier ce qu'on a envie de faire et des perspectives d'emploi» : Jonathan, 18 ans, une mention assez bien en poche, attend la réponse pour une école d'ingénieur aéronautique. Passionné depuis toujours, il assure qu' «avec ce diplôme, on est embauché directement». S'il est refusé, il est déjà inscrit à Jussieu en maths-informatique : «Il y a une passerelle pour intégrer l'école.» Même ce qui paraît simple est aujourd'hui compliqué. Fille de médecins, Lætitia, 18 ans, a choisi... médecine. «C'est dans les veines, mais c'est surtout une vocation.» Sur le serveur Ravel de l'Education nationale, elle a demandé en premier choix l'université Paris-VII (Lariboisière-Bichat). Mais elle ne saura que début septembre si elle est acceptée. Si elle tombe sur son second choix, elle cherchera, sur Internet, un étudiant ayant la même mention au bac pour échanger sa place. Simultanément elle s'est inscrite dans une prépa privée. «Avec les quinze heures de cours hebdomadaires à la fac, on a peu de chances de franchir le cap de la première année où 10 % sont reçus. Ces prépas sont devenues un vrai marché : début juillet, il y avait déjà la moitié des places prises, et le prix est de 400 euros l'année.»
Carrières. Réalistes et pragmatiques, ils ont intégré les risques du chômage. A la différence de leurs aînés qui, à peine bacheliers, s'imaginaient des carrières, ils s'inquiètent déjà de la suite. Rien d'étonnant que le bac ne les impressionne plus. «Je ne suis pas flatté d'avoir eu le bac S, affirme Pierre, 19 ans, qui a redoublé sa terminale. Pour moi cela ne représente rien, cela met fin à des années d'enseignement sans intérêt.» «Tout de même, corrige Jonathan, on n'a jamais travaillé autant pour un examen, c'est notre premier gros diplôme.» «Plus que le bac, conclut Loïc , c'est la mention qui est importante et qui donne le niveau.»

un article sur les frais d'admission :
Pour la deuxième année, l'Unef a dévoilé hier son palmarès des universités hors la loi en matière de frais d'inscription. Selon le syndicat étudiant, le constat est encore plus accablant que l'an passé, puisque 62 % des universités (contre 60 % en 2005) s'exposent à des recours contentieux.
D'après la loi, les droits d'inscription ­ hors Sécurité sociale ­ pour 2006-2007 s'élèvent à 162 euros pour un étudiant en licence, 211 en mastère et 320 pour un doctorant. Ces frais légaux ont augmenté de 4,9 % en moyenne par rapport à l'an dernier. S'y ajoutent souvent des frais supplémentaires, pas toujours présentés comme facultatifs, qui ne correspondent pas à une prestation précisément identifiée. Intitulés «frais de dossier» ou «frais pédagogiques», ils visent une activité sportive ou la préparation à des concours. Ces sommes complémentaires peuvent faire déraper le budget des étudiants et atteindre, selon l'enquête de l'Unef, jusqu'à 3 500 euros, comme à l'université d'Aix-Marseille-III. Son président a contesté toute illégalité, expliquant que cette somme permet aux étudiants du mastère de l'Institut d'administration des entreprises de bénéficier d'un accompagnement professionnel et de participer à des ateliers sur l'emploi.
L'Unef affirme cependant que de plus en plus d'universités tentent de dissimuler ces frais d'inscription. Le syndicat a appelé Gilles de Robien, le ministre de l'Education nationale, à s'engager sur ce dossier.